Associé depuis 2021 à l’élaboration du Schéma, le Ceser apprécie de retrouver dans le document présenté nombre de ses préoccupations et préconisations formalisées tout au long du processus de préparation et de concertation, notamment l’organisation polycentrique du territoire autour de centralités et polarités.
Sur la trajectoire de réduction de l’artificialisation des sols, le Ceser prend acte de la trajectoire retenue par le projet – moins ambitieuse toutefois que celle qu’il a proposée – et note positivement la priorité donnée à la densification et à la transformation d’espaces déjà artificialisés avant toute consommation nouvelle ; il regrette que le document ne répartisse pas les capacités d’extension urbaine par bassins de vie. Pour plus d’équilibre entre habitat et emploi, le Ceser encourage un cadrage plus explicite des documents d’urbanisme.
Le Ceser insiste pour que soit précisé le concours que peuvent apporter pour l’essor du photovoltaïsme des bâtiments à usages économique, logistique, de parking et les bâtiments publics.
Pour en savoir + sur l’avis du Ceser sur les énergies renouvelables, l’eau, les projets d’infrastructures de transports. Retrouvez l’avis du Ceser ici.
Le Ceser se réjouit enfin qu’un dispositif de suivi – évaluation partenarial du SDRIF-E – soit prévu afin d’assurer sa réelle mise en œuvre dans les documents d’urbanisme locaux. Il suggère d’intégrer les coopérations interrégionales aux dispositifs de suivi et d’évaluation de la mise en place du SDRIF-E.