Pour le Ceser, le télétravail ne saurait être la seule forme d’exercice du travail par défaut. Cette organisation du travail demande un encadrement sur lesquelles toutes les parties prenantes doivent s’accorder afin d’éviter ses travers, notamment l’isolement ou l’exclusion.
Notons que le télétravail peut contribuer à l’inclusion. Pour les personnes victimes d’accident, ayant des problèmes de santé ou atteintes de handicap, le télétravail leur permet de continuer à exercer leur métier.
Mais cela suppose de former les employés au numérique afin d’éviter toute rupture des liens sociaux entre collègues.
Ainsi, pour un télétravail bénéfique pour la santé des Franciliennes et des Franciliens, autant en termes de désaturation des transports, que de limitation de la fatigue et d’équilibre professionnel et personnel, il faut que ses modalités soient clairement et conjointement définies par les parties prenantes.
Pour en savoir plus, vous retrouverez les préconisations du Ceser dans son rapport.